Marie Mancini vien d'arrivé

*s'allonge sur le lit et s'endore*

*Le roi qui avait entendu parler du retour de sa belle italienne, s'était rendu dans ses appartement dans l'espoir que celle-ci malgré les années qui les avait séparée, accepterait de le recevoir. Louis toqua doucement à la porte et attendit que la propriétaire des lieux lui ouvre la porte*

*enten frappé se réveillé ,se léve*

*ouvre la porte et voir Louis se frotte les yeux pour voir si elle ne révais pas ,et lui saute au coup et l'embrasse'*

_tu m'aime encore ? moi je t'avais dit que je t'aimerait toujour et que j'attendré le temps qu'il faudra ,et je savais que tu viendré me voir ,si on te dit que je revien je t'aime mon roi a moi

*pleure*

_ ne laisse personne plus jamais personnes nous séparé plus jamais

*vien dans ses brans*

*Lorsque Louis vit apparaître sur le pas de sa porte la cahrmante italienne, les yeux endolori de sommeil, il lui sourit et attendit qu'elle réagisse. Il la serra ensuite très fort dans ses bras pour s'assurer qu'il ne rêvait pas. Son amour lui revint alors à l'esprit et lui procura la plus douce des sensations*

- Ma tendre amie quel plaisir de vous revoir, vous m'avez tant manqué. Je suis si ravi de voir ici. Vous êtes toujours aussi magnifique.

*lorsqu'elle prononca sa deuxième phrase. Louis s'écarta un peu d'elle, craignant de lui révéler sa relation avec la belle marquise de Montespan. Il lui sourit et déclara*

- Si seulement tout pouvait être aussi simple. Mais mes obligations ma chère Marie... mon coeur a tellement changé depuis qu'il vous a été arraché.

*le regarde étonné *

_comment ça Louis ? j'ai une chose trés importante a vous dire et personne doit être au courrent a moins que vous voulais pas le savoir

*baisse la tête *

_Louis je t'aime mais si ton coeur et parti avec une autre dit je serait ta maîtresse tout se que tu voudra regarde le temps nous séparé j'en et pleuré en excil de notre amour imposible on ma fait souffrire loin de toi

*le laisse rentré referme la porte*

*Marie caresse le visage de Louis et le regarde*