Viens lui rendre visite

*Le Chevalier de Lorraine revenait d'une absence de deux mois, il avait été envoyé par le Roi sur les champs de batailles, mais comme il s'était bléssé à la jambe, il avait obtenu l'autorisation de rentrer, et sa première visite fut pour son amant, il frappa donc à la porte et attendit qu'on lui ouvre.*

*Il était un peu frustré que la porte ne s'ouvre pas*

- C'est moi Monseigneur, le Chevalier de Lorraine, mais si vous voulez que je vous laisse seul, je m'en vais.

Surtout si vous n'êtes pas seul

*Sa jambe lui faisait un peu souffrir, mais il resta quand même debout droit comme un "i"*

*Il entra en boîtant*

*Il mit ses bras autour de son cou et l'embrassa à son tour*

- Et moi donc, mais je m'en voudrais de vous déranger.

*Il lui sourit*

*Il le regarda en souriant*

- Je vais mieux maintenant que je suis avec vous.

*Il l'embrassa encore*

- Vous m'avez tellement manqué. Je n'ai cessé de penser à vous quand j'étais à la guerre.

*Il lui prit la main*

- Pour risquer de vous retrouver dans cet état, allons vous n'y pensez pas. Mais, la question ne se pose plus maintenant.

*Il enfouit sa tête dans le cou de Philippe et l'embrassa*

*Il le regarda et lui sourit tendrement*

- Alors, qu'a fait mon Prince pendant mon absence ?

*Il ouvrit de grands yeux*

- Un cadeau ? Mais c'est bien ça, et quel est-il ?

*Il lui sourit tendrement*

*Il lui sourit*

- Allons, ne me faites pas languir, je vous en supplie, vous savez bien que je suis pire qu'un enfant.

*rit*

- Je le sais... C'est d'ailleurs pour ça que je vous ferais attendre...

*Il prend une mine triste*

- Vous êtes cruel avec moi, je ne vous ai pourtant rien fait de mal.

*le regarde avec une mine de fausse pitié*

- Au mon pauvre chou...

*le sert contre lui*

- Tout vient a point a qui sait attendre...

*Reste dans ses bras*

- Oui, mais l'attente est un vrai supplice pour moi

*Il le regarda dans les yeux et lui sourit*

- Alors là je suis d'accord.

*Il frissonna au contact des mains de Philippe*

*Il lui sourit et l'embrassa langoureusement*

*Il défit à son tour les boutons de la veste de Philippe et parcouru son torse de petits baisers.*

- Je vous en prie, j'en suis ravi.

*Il ferma les yeux en souriant pour mieux apprécier ses caresses*

*Puis à son tour, il déshabilla Philippe, l'allongea sur le lit et l'embrassa*